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Cet artiste, ami de Patrick Chamoiseau et de Milan Kundera, est un humaniste qui pose la question fondamentale de l’essence humaine. L’Insatiable a rencontré ce peintre des corps tronqués et en souffrance.
Infatigable comédien et metteur en scène audacieux, François Chattot fut à la tête du CDN Dijon-Bourgogne, au Parvis Saint-Jean, ancien lieu de culte qu’il s’agit de désacraliser… Avec son camarade Jean-Louis Hourdin, ils nous ont fait la divine surprise d’un petit bijou d’habile résistance : Veillons et armons-nous en pensée, sur des textes de Büchner, Brecht, Marx et Engels
Gaspard Delanoë, célèbre figure des squats parisiens, directeur du musée Igor-Balut et membre fondateur du collectif de l’aftersquat 59 Rivoli, s’exprime sur ces lieux de création, leur rapport avec le marché de l’art et l’administration culturelle.
De Garouste, on connaît l’œuvre, marquée par la force des figures mythologiques et allégoriques, le goût du format monumental et une distance teintée d’ironie légère à l’égard des outils contemporains. Mais l’œuvre, est-ce seulement ce que l’on découvre au fil des expositions ?
Les ruines des théâtres grecs respirent encore la proximité de cet art avec la vie et les débats de la cité. Comme tous les artistes magiciens du XXIe siècle, Gildas Milin s’inscrit dans l’architecture de cette filiation.
Engagé mais irréductible à une étiquette politique, le jardinier-philosophe Gilles Clément écrit, voyage, agit, du micro au macro, et transmet sans relâche son expérience aux jeunes générations d’acteurs du paysage qu’il a formées.
C’est d’abord le cinéma qui a révélé Hanif Kureishi, figure marquante d’une génération d’écrivains britanniques apparue dans les années 1980. Réalisé par Stephen Frears en 1985, son scénario, My Beautiful Laundrette, frappait fort en portant à l’écran les amours d’un jeune skinhead et d’un jeune Pakistanais, sur fond de crise sociale thatchérienne.
Lorsque nous pénétrons dans son vaste bureau niché sous les toits de la mairie d’Aubervilliers, les cartons jonchent le sol et semblent se remplir au fur et à mesure que se vident les étagères qui courent autour de la pièce. Pour l’heure, elles sont encore chargées de livres, programmes de spectacles ou affiches diverses, qui rejoindront bientôt le riche fonds d’archives municipales.
À quoi sert la pratique artistique dans les prisons ? S’agit-il d’un outil thérapeutique, d’action sociale, d’un procédé pour désactiver et sublimer des conflits, ou d’un acte de création artistique à part entière, sans tarif réduit ? But ou moyen ?
Jean-Louis Hourdin, qui fut entre autres à l’école d’Hubert Gignoux au Centre dramatique de l’Est (les tout débuts du TNS), ne laisse pas s’éteindre la flamme transmise. Les actions de ce chef de troupe enthousiaste et engagé ne cessent de travailler notre conscience politique et historique.
Après avoir passé le cap du numéro 10, on continue notre chemin. On a manifesté en soutien au peuple palestinien, contre la loi immigration, et pris part à des rassemblements contre ...lire la suite