Une proposition multiple : la fabrication comme spectacle, l’angoisse de l’artiste aux moments de l’acte créatif, la conversion du spectateur-consommateur en regardeur affûté et subtil, l’écoute de beaux textes servis par de très belles voix, l’esthétisation politique de l’espace urbain qui en résulte.
À la première, le public s’est dissipé rapidement dès qu’il comprit qu’il n’y avait rien de spectaculaire, rien de visible à consommer. Pourtant, c’est un espace-temps fascinant. Une lenteur ambi[...]
Pour lire la suite de cet article,
(abonnement annuel ou mensuel)
Déjà abonné ?