Il y a d’abord eu le copain avec qui on coupait le pain, puis est venu le colocataire qui nous courait sur les nerfs, le codétenu auquel on était tenu, le coéquipier, qui nous cassait les pieds, le coexistant pas toujours marrant, le cohéritier toujours intéressé, le collabo toujours prêt, et ne parlons pas du co-con. Et puis il y a eu le covide, et on a enfin eu la paix…
Plus rien à (…)