Cette « jachère urbaine », selon le titre espagnol, articule quatre espaces et un récit qui s’emploie à défaire la narration. Cette structure, classique dans le théâtre de rue, pose encore une fois la lancinante question : qu’est-ce donc que nous avons vu ?
Le premier espace, matériel et symbolique, c’est le parking, vidé de ses bagnoles. Geste inaugural de contestation de l’empire bagnolique, de la terreur automobilistique, du règne des chauffards et des beaufs. Signe aussi de l’assignation réciproque des lieux[...]
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