Un festival (Montpellier Danse) et deux théâtres (Théâtre Garonne et Théâtre du Capitole) invitent trois chorégraphes israéliens à créer avec les danseurs du ballet du Capitole des objets à la limite de l’art et de la politique. Il s’agit implicitement d’affirmer que la danse peut franchir les frontières, agir contre la violence, contribuer à la fraternité entre les peuples ou entre les communautés.
La danse, comme toute activité humaine, a une dimension politique. Elle peut même, comme ici, servir à des projets déterminés, avec un horizon esthético-moral. Mais la danse oscille entre logique d’émancipation et logique d’aliénation,[...]
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