J’en parlais récemment ici, il est des maladresses à toutes les mises en exposition. À la Maison Victor Hugo, ce qui m’a dérangé c’est le raisonnement qui a précédé la construction du propos critique. Je voudrais souligner plusieurs problèmes, et non des moindres, puisqu’ils sont discriminatoires. Dans un récent article Marine Vellet relevait certains points problématiques, erronés ou absents, pourtant présents dans le titre de l’exposition La folie en tête… aux racines de l’art brut. Elle soulignait à juste titre l’absence de la « folie » attendue et se montrait sceptique devant une vision de « l’art brut » qui ne s’inscrit pas dans les traces de Dubuffet.