Après l’élimination de la France face à l’Allemagne et la joie d’expatrié un peu mesquine (ou pas) que j’ai pu ressentir, je me suis retrouvé face à un trou d’air, ou un trou noir. Appelons ça une gueule de bois. En re-parcourant mes derniers articles, je me suis rendu compte que mon intérêt pour le foot avait, jusqu’au quart de finale, insidieusement (re)pris le dessus. Sans le vouloir, tout en critiquant l’engouement pour cette coupe du monde, j’ai fini par en prendre ma part.
Et puis soudain plus rien. Le néant. J’ai pourtant essayé de me concentrer sur les dernier quart de finale : avec l’Argentine, la Belgique, les Pays-bas et le Costa-Rica, il y avait sûrement moyen de trouver « un angle ». Mais rien à faire : pas d’id[...]
Pour lire la suite de cet article,
(abonnement annuel ou mensuel)
Déjà abonné ?