La jeune parisienne « moderne » que je suis n’a jamais été freinée, jusqu’à présent, dans son accès à l’éducation ou à la santé, par les traditions, la religion ou les coutumes de son pays. Je peux choisir mes études, mon avenir professionnel ou amoureux. Pourtant, cela n’est pas le cas de milliers de jeunes femmes.