Je n’étais pas dans les meilleures dispositions pour aller au théâtre. Je venais d’apprendre que ma grand-mère, très malade, était tombée de son lit d’hôpital, et avait été retrouvée au matin dormant sur le carrelage, plusieurs côtes cassées, dans l’incapacité de marcher. Une amie m’avait proposé d’aller voir ensemble Sombre rivière de Lazare, au Nouveau Théâtre de Montreuil. Mon humeur (…)