« Tous les arts peuvent mobiliser le duende, mais, comme c’est bien naturel, c’est dans la musique, la danse et la poésie déclamée qu’il trouve un champ propice, car ceux-là demandent un corps vivant pour les interpréter, parce que ce sont des formes qui naissent et meurent en permanence, et dressent leurs présences dans un instant absolu. » Federico Garcia Lorca, Jeu et théorie du duende.
Quand Rodrigo Ramis, comme on tendrait un parchemin sur le point de tomber en poussière, confie à nos mains maladroites ces mots de Federico Garcia Lorca qui dansent autour de ce qu’on ne peut jamais exprimer à voix claire et distincte, ces mots[...]
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