À l’heure où les subventions s’évaporent et où moult structures culturelles et sociales se serrent la ceinture, je me réjouis de découvrir ces pépites artistiques porteuses d’espoirs. Un peu de chaleur humaine en période de grand froid. Ça commence au mois de décembre à la Villa Mais d’ici d’Aubervilliers avec un spectacle de la Fine Compagnie, Mon cher ami le fantôme et ça se poursuit en février avec Un jour, ça ira, documentaire de Stan et Edouard Zambeaux. Deux parcours, ceux de Johanne Gili et Peggy Rolland, deux œuvres qui pointent du doigt les urgences de l’époque. Une occasion de vous parler de ces artistes engag[...]
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