La vieillesse ? L’âge de la libération ! Encore que, à l’entendre, on puisse douter que Thérèse Clerc ait jamais refréné sa liberté de parole. Elle est l’instigatrice du projet des Babayagas : une longue gestation semée d’embûches, révélatrice du sort que réserve notre société aux vieux, et surtout aux vieilles.
Thérèse Clerc : J’ai écrit le projet de maison des Babayagas en 1995, à la suite de la mort de ma mère, grabataire cinq ans durant. Je travaillais encore à l’époque, mes quatre enfants étaient en « turbulences conjugales », et j’avais quatorze petit[...]
Pour lire la suite de cet article,
(abonnement annuel ou mensuel)
Déjà abonné ?
Bravo pour ce texte lucide et régénérant. J’avais entendu parler de cette maison des Babayagas depuis longtemps et je me réjouis de voir qu’elle s’est concrétisée.
Signaler