La Solitude du coureur de fond est de ces textes à la beauté maligne, ceux dont l’épaisseur déborde les pages, avides de parole vive. En 1962, Tony Richardson transposait au cinéma la nouvelle du britannique Alan Sillitoe (1959). Un demi-siècle plus tard, elle court sur le[...]
Pour lire la suite de cet article,
(abonnement annuel ou mensuel)
Déjà abonné ?