Olivier Perrot, fidèle directeur artistique (Grand Imagier) de la revue Cassandre/Horschamp et photographe-plasticien malicieux, a pris d’assaut les rues de Vitry. Depuis quelques mois, il y colle ses montages photographiques chargés de sens. Au cœur de cette agora silencieuse, ses images révèlent et dérangent les dialogues et les batailles qui se livrent sur les murs. Ceux des colleurs d’affiches des partis politiques comme ceux des graffeurs.
Olivier Perrot est devenu addict. Qui aurait pu prédire un tel destin à ce paisible photographe-plasticien, qui a porté sa marque à chacune des couvertures de la revue Cassandre/Horschamp depuis plus de dix ans et qui tripatouillait ses magiques photogrammes dans le calme discret de s[...]
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Grande marcheuse (en ville, à la campagne, à la montagne) j’observe toujours attentivement mon environnement et je regrette de ne pas être "Vitriote" pour admirer les fresques et les frasques d’Olivier.
Je partage son point de vue sur le premier réseau qu’est la rue et où l’expression artistique urbaine prend tout son sens. Et tant mieux si les murs se colorent et amènent les graffeurs pas toujours talentueux à enrichir leurs fresques (je ne porte pas de jugement, j’observe...).
Un petit commentaire sur la politique : si l’égo des candidats et les promesses non tenues s’arrêtaient aux portes de Vitry, on en serait pas là....
Merci à Olivier de nous donner à voir autrement les murs de la ville et de nous faire réfléchir sur la folie du nucléaire avec sa performance du 11 mars 2014.
Bravo pour cette stimulante image que tu avais évoquée hier soir dans le métro après la belle performance de la place des fêtes avec Madeleine Abassade. Edith
http://journaldebordduneaccro.wordpress.com SignalerAprès avoir passé le cap du numéro 10, on continue notre chemin. On a manifesté en soutien au peuple palestinien, contre la loi immigration, et pris part à des rassemblements contre ...lire la suite