À travers l’exposition « Baya, icône de la peinture algérienne. Femmes en leur Jardin », l’Institut du Monde Arabe à Paris puis le Centre de la Vieille Charité à Marseille, rendent hommage à l’artiste algérienne la plus singulière du XXe siècle, propulsée dès ses 16 ans au sommet de la notoriété. Une invitation à (re)découvrir le bestiaire énigmatique de ses céramiques et surtout ses peintures joyeuses et colorées montrant une nature luxuriante, comme une ode à la vie.
Prologue plutôt perso
J’ai eu ma période monomaniaque avec de l’acrylique sur toile de motifs fleuris autour du thème des quatre saisons. Des divagations, comme mes textes dans L’Insatiable. Mais, depuis un moment, j’ai besoin de changement de technique. J’expérim[...]
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