Fin septembre, le Studio Théâtre de Stains ouvrait sa saison par une création originale : La Mémoire trouée, un récital théâtral et musical sur le thème des folles années de l’après-guerre. Aller-retour entre Paris et Berlin, la représentation prend le pari de remettre l’atmosphère des cabarets de l’époque sur le devant de la scène, tout en respectant les contraintes d’un récital. À savoir, un seul et même narrateur pendant toute la durée de la pièce, et peu de décors. Pari réussi ?
Ici, pas de quatrième mur, et les acteurs sont déjà sur scène quand les rangs se remplissent. Mais un détail attire l’œil : autour d’eux, pas de décor. Surprise. Seule une table à la nappe rouge vif et trois chaises y sont plantées. Fa[...]
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