Qui veut noyer un festival dans la capitale, dit qu’il y a Paris Plages... En 1975, Paul Simon chantait son « Fifty ways to leave your lover ». Aujourd’hui en France, on accuse les précaires de nuire aux festivals de l’été, de détruire ce qu’ils aiment par-dessus tout : leurs festivals. Pourtant, deux généreux et utopistes rendez-vous parisiens viennent de faire l’expérience qu’il y a bien plus nuisible qu’une grève des intermittents du spectacle.
Comme par hasard, les deux festivals en question œuvrent à la marge, enrichissent le paysage et n’existent que grâce à l’énergie colossale investie par leurs fondatrices : D’une part, « En compagnie(s) d’été » (13ème année) e[...]