En avril 2011, quelques copines lassées de voir les terrasses des cafés de leur ville occupées presque exclusivement par des hommes lancent l’idée d’un rendez-vous régulier pour investir, elles aussi, leurs troquets de quartier. L’idée séduit des voisines, des amies, et aujourd’hui une soixantaine d’albertivillariennes forment le collectif Place aux femmes.
« On est chiantes, mais pas (…)