L’Atelier lecture à haute voix et l’équipe soignante de l’hôpital de jour de Bondy m’envoya par courrier postal une invitation. Depuis des années je reçois leurs invitations écrites au stylo à bille, sans jamais pouvoir venir, l’annonce d’une seconde lecture de textes de Daniil Harms - qui fut un immense poète dit de l’absurde, russe, dissident, censuré, qui mourut en 1942 à l’hôpital (…)