J’aimerais décrire Les Égarés du Chaco sans employer ni le mot fiction, ni l’expression « réalisme magique ». Fiction, parce qu’il porte sa charge de mensonge, tandis qu’histoire, une bonne histoire charnue, on voit ce que nous fait celui qui la raconte, dans le présent physique qu’on partage avec lui, et le présent[...]
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