En décembre 2012, le PEROU installait son ambassade dans un bidonville à Ris-Orangis. Dix-huit mois après, malgré la destruction du camp, les Roms sont toujours là. Et le PEROU aussi, qui persiste et signe dans son acharnement à construire et à témoigner. Les solutions sont possibles, comme le montre la base de vie installée à Ris-Orangis, qui fêtait samedi ses nouvelles installations. Mais à Grigny où beaucoup se sont réfugiés dans un nouveau bidonville, l’expulsion menace.
Ils s’étaient installés en lisière de Grigny et de Ris-Orangis. Dans ce terrain, le PEROU (Pôle d’exploration des ressources urbaines, avait construit son « ambassade », avec la complicité activité de l’architecte Julien Beller. Un édifice e[...]
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