Régy, crépuscule infini

PARTAGER CET ARTICLE ► 
|  Article suivant →
s’abonner
 

Enfin
des cadeaux intelligents !





   




< Articles

Régy, crépuscule infini

PARTAGER ►

Télécharger la version PDF  



En guise d’hommage amical et admiratif, republions ce texte de Pierre-Jérôme Adjedj autour de l’ultime travail de Claude Régy vu à Berlin il y a un peu plus d’une année.

Silence et ténèbres dans la salle de la Volksbühne… Un prérequis exigé par le metteur en scène de 95 ans, parvenu au bout de son chemin, au bout de l’outre-noir, au-delà de la parole. Dans Rêve et Folie, ultime étape d’un parcours long de 65 années, on reste dans l’expectative, longtemps. Et si la lumière ne venait pas vraiment ? L’étrange bourdonnement sera-t-il le seul support de cette silhouette que l’on commence à peine à deviner ?

Le début de Rêve et Folie⁠ [1] met le spectateur face à sa propre attente. Pas l’attente de l’impatience, « l’Erwartung ». Par le jeu de la rémanence résultant de la salle qui s’éteint et de la scène qui ne s’illumine que très doucement, l’effo[...]

Pour lire la suite de cet article,

ABONNEZ-VOUS

(abonnement annuel ou mensuel)

Déjà abonné ?

Connectez-vous !





[1j’avais curieusement oublié, dès les premières secondes, le titre du spectacle, ce qui ne m’était jamais arrivé avant.

fake lien pour chrome




Partager cet article /  





Réagissez, complétez cette info :  →
Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.



Infos, réflexions, humeurs et débats sur l’art, la culture et la société…
Services
→ S’abonner
→ Dons
→ Parutions papier