Anako fut l’un des douze derniers survivants d’un grand peuple d’Amazonie. Son histoire symbolise l’importance d’être à l’écoute des peuples et des diversités culturelles, un élément indispensable à l’équilibre de notre monde. La péniche Anako, qui gère un centre culturel arménien, organise également des œuvres sociales et culturelles qui assurent des passerelles entre les cultures et les générations. Chaque évènement est une invitation au voyage et à la rencontre de l’autre au fil de chemins non balisés. À bord, des grands témoins, des cueilleurs de mémoires ou des nomades passionnés nous invitent à donner voix à l’oubli et à naviguer vers l’autre en s’éloignant du quai figé du quotidien.
En octobre, l’exposition Traces mettra l’Arménie à l’honneur en rassemblant les photographies de Patrick Artinian (du 7 octobre au 1 novembre). Des concerts seront également organisés : jeudi 8 octobre à 20h30, Joana Mendil chantera Aznavour et dimanche 11 à 11h un brunch « ethnomusika » sera l’occasion de débattre autour du thème « Que peut-on transmettre en exil ? Un cas particulier : le chant modal arménien, à travers un film » avec Aram Kerovpyan. Vendredi 9 octobre, à 20h30 aura lieu la projection du film « Dis-moi pourquoi tu danses ? » de Jacques Kebadian et dimanche 18, à 16h les contes arméniens d’Anouche Donabedian-Krikorian « Gjiv ! Djiv ! Cui ! Cui ! » seront narrés en français et en arménien par Christine Kiffer et sa kamantcha (vièle à archet) pour le jeune public dès 3 ans.
Pour plus d’informations : ici
Péniche Anako,
Bassin de la vilette, face au 61 quai de la Seine,
75019 Paris
Métro Riquet, Stalingrad ou Jaurès.