« N’avons-nous pas, dit-il, victimes de notre myopie, accepté le clientélisme, l’aumône des politiques, devenant ainsi la proie de programmateurs-prédateurs qui, au nom de la « culture pour tous » se gavent d’argent public et nous réduisent au rôle de producteurs de spectacles à écouler dans leurs circuits de supermarchés culturels ? »
Cette autocritique est un appel non à battre sa coulpe, mais à prendre tous les risques de la création indépendante, à se dégager de la servitude, de la dépendance vis-à-vis des caciques en place, en revendiquant la gestion de[...]
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