Le premier tour de la coupe du monde est à mi-chemin, et déjà on commence à ramasser les premières victimes. Je ne parle pas des manifestants brésiliens, vu qu’ils sont étrangement sortis du radar des médias depuis le début de la compétition, mais bien des équipes de football. Si dans certains vestiaires, l’ambiance est aussi lourde qu’elle est légère dans ceux des vainqueurs, les gouvernements des pays concernés commencent eux aussi à refaire leurs petits calculs pour voir le profit qu’ils pourront ou non tirer de la situation. Sans conteste, ça méritait un petit bilan d’étape.
D’ailleurs, s’il s’agit de faire les comptes, les gouvernements ne sont pas seuls. Exemple : Peter Oppenheimer, responsable de la stratégie chez Goldman-Sachs [1], qui disserte sur l’influence du ballon rond sur les marchés financiers. [...]
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[1] Et transfuge d’Apple, où il exerçait les fonctions de CFO (Chief Financial Officer)