S’il y avait dialogue, il n’y aurait pas la violence des accords du 22 mars, qui ont frappé sèchement intermittents, intérimaires, précaires, chômeurs. Or ces accords sont pour le fond une destruction et dans la forme une agression.
Double violence. Et m[...]
Pour lire la suite de cet article,
(abonnement annuel ou mensuel)
Déjà abonné ?