Le cheval est un animal qui nous comprend. Muet complice de nos guerres, de nos carnages, de notre soif de conquérir la terre, il ne nous a rien dit. Et un jour nous n’avions plus besoin de lui. Nous l’avons mis au bord de la route. Quelques gitans ont continué à vivre au rythme des carrioles puis tout cela a été interdit, et les chevaux, et les hommes, envoyés à la boucherie. Seul est resté (...)