En 2012, le Printemps Érable a fait éclore des expressions artistiques auxquelles Cassandre/Horschamp a finement tendu l’oreille [1]. Nées dans et par le mouvement, ces formes engagées visaient à l’égayer, à le maintenir en vie, à souder ses acteurs. Dans d’autres cas, le Printemps a donné un corps à des travaux artistiques qui lu[...]