Celui qui tombe : la beauté au service de la régression

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Celui qui tombe : la beauté au service de la régression

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par Jean-Jacques Delfour
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Ce spectacle de Yohann Bourgeois articule l’ancien dispositif des « pièces à machines » à l’espace risqué du cirque, la forme esquissée de l’expérimentation humaine, l’espace du désir lilliputien, un Radeau de la Méduse et un jardin d’enfant avec sa balançoire. Cette diversité de figures allusives et les effets de leur entrelacement produisent un plaisir exceptionnel et ambigu, où s’entrechoquent émotion et travail symbolique.

Celui qui tombe © Géraldine Aresteanu

Le plateau est occupé par une immense machine qui descend du plafond, esquissant un deus ex machina, rappel des « pièces à machines ». Richelieu fit construire, en 1641, un imposant théâtre équipé de machines, imité notamment par le Théâtre du Marai[...]

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