« Humiliation mondiale ». « Cauchemar ». A quoi se rapportent ces formules que l’on peut lire aujourd’hui dans les journaux ? Ce pourrait être une déroute militaire quelconque, et ce ne sont pas les exemples qui manquent ces jours-ci. Mais ne rêvons pas : les superlatifs sont préemptés par la FIFA jusqu’au 13 juillet inclus
C’est même pour cela que notre Jean-François Copé du monde [1] a choisi le jour du match France-Honduras pour son départ effectif : il était ainsi absolument sûr que ça aurait autant de place dans les journaux qu’un vol de pain au chocol[...]
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[1] Merci Nicolas Bertrand pour cette vanne !