Est-ce l’effet d’un relâchement dominical ou le fait qu’un ami m’ait opportunément rappelé à quel point j’aime le foot en me signalant que j’étais en train de passer à côté de la plus belle coupe du monde, sur le plan sportif s’entend (ce que je vois bien en regardant les scores à défaut de voir les matches) ? Toujours est-il que je suis saisi par une légère nostalgie, moi qui déteste ça par principe. Je repense au championnat de France, dont je suivais les moindres faits sur les deux premières divisions et pouvait indiquer de mémoire quasiment tous les transferts.
Je suivais évidemment aussi les compétitions européennes. En dehors de l’apprentissage de la géographie, un des souvenirs les plus significatifs de cette période concerne la marque que la guerre froide imprimait sur la compétition, et qui[...]
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