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Kuro Tanino et L’auberge de l’obscurité : quand tout disparaît, la beauté reste

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par Julia Inventar
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Comme pour figurer son caractère universel, c’est dans le décor d’un lieu reculé et hors du temps que nous plonge le metteur en scène Kuro Tanino pour sa pièce Avidya, l’auberge de l’obscurité. Dans cette agréable fable philosophique, une auberge traditionnelle perdue dans les montagnes japonaises, quatre clients malades et deux visiteurs mystérieux suffisent à retranscrire l’atmosphère d’un instant d’harmonie suspendu, où tout peut vaciller…

Avidya, l’auberge de l’obscurité © Shinsuke Sugino

À la manière d’un conte, c’est la voix chantante d’une narratrice qui ouvre la pièce, interprétée en japonais et sous-titrée en français. Un détail qui pourrait déranger, mais qui se fait vite oublier grâce au jeu communicatif des [...]

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