Dix-huit vagues de réalisme croisées de pauses poétiques

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Dix-huit vagues de réalisme croisées de pauses poétiques

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par Lisa Darrault
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Paris est une fête – un film en 18 vagues est une traversée de Paris, de 2015 à 2016, accomplie par Sylvain George, en compagnie de Mohammed, un jeune mineur, réfugié Guinéen sans abri.

Au croisement de la recherche formelle et de la rencontre humaine, ce film s’articule en troi[...]

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Cinéma Festival Paris Sylvain George
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2 commentaire(s)

LEREBOURS CAMILLE 3 avril 2017

Un très bel article, très juste et très bien mené. Félicitations, il est aujourd’hui rare de lire quelque chose d’aussi beau.

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MARTINOT 31 mars 2017

Je crois que ça a a commencé cela, la nausée ensuite ou avant la trahison, ’est ça le dégoût
Impossible de se poser, à l’intérieur un mélange oscillant, vacillant entre une révolte et grande fatigue -
Donner de la voix, ma voix ----- qu’allez t-ils me montrer, une pour le salut de mon âme, ma tête et mon corps raidis ; gonflés près à exploser ...
Déliquescence, vague scélérates, de nous-après leurs débats, nous - nous débattre encore, partagés, écartelés ...
La politique cache un pouvoir à la gueule monstrueuse ...
Pour qui, encore encore, il moins froid dehors, mais ... Même changer d’heure, tient de peu ...

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